Abstract
Studies on bird-window collisions have generally drawn inferences about species’ differential vulnerability from collision tallies. However, this common methodology is potentially biased because the number of collisions may simply reflect prevalence of species at the study site rather than species-specific vulnerability. Building on recent studies of abundance and collision rates, we offered a complementary methodology based on point count data that could be widely applied alongside carcass surveys. Additionally, we broadened our analysis beyond previously applied taxonomic and migratory classifications to include functional classifications of feeding guild, breeding status, and synanthropy. Our null hypothesis was that collision frequencies reflect a species’ or classification group’s prevalence at study sites. To test this possibility, we used collision data collected at three sites in the Research Triangle Area of North Carolina, United States. At one of these sites, Duke University’s Main Campus, we also gathered relative abundances from the local bird community to develop a case study assessment of how background prevalence compared to number of collisions. Using the larger, three-site dataset, we developed an initial picture of collision susceptibility based solely on frequency, the standard practice. Then, by bootstrapping our Duke abundance data, we generated confidence intervals that simulated collision based on chance versus prevalence. We identified several instances where collision tallies produced misleading perception of species-specific vulnerability. In the most extreme case, frequencies from our Triangle Area dataset indicated locally breeding species were highly vulnerable to collisions while our abundance-based case study suggested this same group was actually adept at avoiding collisions. Through our case study, we also found that foliage gleaning was linked to increased risk, and omnivory and ground foraging were associated with decreased risk. Although our results are based on a limited sample, we argue that abundance needs to be incorporated into future studies and recommend point counts as a noninvasive and adaptable alternative to area-searches and mist netting.
Traits spécifiques à l'espèce et abondance affectent la fréquence des collisions d'oiseaux aux fenêtres
Les études sur les collisions d'oiseaux aux fenêtres infèrent généralement la vulnérabilité d'une espèce à partir des décomptes de collisions. Toutefois, cette méthodologie fréquemment utilisée est potentiellement biaisée parce que le nombre de collision reflète simplement la prévalence de certaines espèces au site d'étude plutôt que la vulnérabilité réelle de l'espèce. À partir des récentes études d'abondance et de taux de collision, nous offrons une méthodologie complémentaire basée sur des recensements ponctuels qui pourrait être appliquée à large échelle en parallèle avec les décomptes de carcasses. De plus, nous avons élargit nos analyses au-delà des classifications taxonomiques et migratoires utilisées auparavant, afin d'inclure les classifications fonctionnelles de guilde alimentaire, statut de reproduction, et le facteur de synanthropie. Notre hypothèse nulle est que la fréquence des collisions reflète une prévalence d'une espèce ou d'un groupe de même classe au site d'étude. Afin de tester cette possibilité, nous avons utilisé les données de collision collectées sur trois sites dans la Zone Triangle de Recherche en Caroline du Nord, aux États-Unis. Sur l'un des sites, le Campus Principal de l'Université de Duke, nous avons aussi amassé les abondances relatives de la communauté locale aviaire, afin de développer une étude de cas sur la comparaison de la prévalence en arrière-plan et le nombre de collision. Utilisant la banque de donnée des trois sites, plus vaste, nous avons développé une image initiale de susceptibilité de collision basée seulement sur la fréquence, la méthode courante. Ensuite, en utilisant le bootstrap sur nos données d'abondance de Duke, nous avons généré des intervalles de confiance simulant les collisions basées par chance comparé à la prévalence. Nous avons identifié plusieurs instances où les totaux de collisions ont produit une fausse perception de vulnérabilité spécifique due à l'espèce. Dans les cas les plus extrêmes, nos données de la Zone Triangle indiquèrent que les espèces se reproduisant localement étaient grandement vulnérable aux collisions, alors que notre étude de cas basée sur l'abondance suggérait que ce même groupe était adepte à éviter les collisions. À partir de notre étude de cas, nous avons aussi découvert que les glaneurs de feuillage étaient liés à un risque plus élevé, alors que l'omnivorisme et l'alimentation au sol étaient associés à une diminution du risque. Malgré que nos résultats soient basés sur un échantillon limité, nous avançons que l'abondance devrait être incluse dans les études futures et recommandons l'utilisation de recensements ponctuels comme alternative adaptable et non-invasive au-lieu de d'aires de décomptes ou de filets japonais. Show more
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https://doi.org/10.3929/ethz-b-000178648Publication status
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Journal / series
Avian Conservation and EcologyVolume
Pages / Article No.
Publisher
Resilience AllianceSubject
carcass survey; classifications; collision vulnerability; local abundance; point count; window strikesOrganisational unit
02350 - Dep. Umweltsystemwissenschaften / Dep. of Environmental Systems Science03723 - Ghazoul, Jaboury / Ghazoul, Jaboury
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